« J’ai embrassé toutes les peines, toutes les souffrances vécues dans ce camp et dans ces autres camps dont il ne reste presque pas de traces, sinon celles laissées dans les mémoires, et je les ai réunies dans mon cœur.
Sans aucun distinguo de races, d’appartenances politiques ou religieuses.
Comme une seule grande plainte.
Ces photographies sont l’écho de cette unique et insoutenable plainte qui me parvient chaque fois que j’entre dans le camp de Rivesaltes ».
FLORE
Jusqu’au 5 octobre au Mémorial du Camp de Rivesaltes